Après le départ de Daiki, ce fut le silence total. Aucun mot sortait de aucune des 2 bouches restantes sur le terrain de basket. M'enfin, silence pour paroles échangés, le fantôme criait encore son mal. Mais pas pour longtemps, commençant par manqué de souffle.
« Ma mère m’a dit un jour que la souffrance nous rend plus fort...Je n’ai jamais aimé cette façons de pensé...Je crois que souffrir est l’intersection du chemin, nous offrant de nouvelle posibilité...Et chaque fois c’est un pas de plus vers le Bonheur...»
Kuroko sentait les mains chaudes du garçon dans ses cheveux bleu ciel, il les sentait très bien, par contre sa tête était trop ailleurs pour avoir une quelconque réaction ou se sentir apaisé. Même ses paroles, pas réconfortantes du tout aux oreilles du bleu, passaient dans une et sortaient par l'autre. Ses larmes coulaient toujours sur ses joues. Maintenant, s'il levait la tête, cela ne serait pas très beau à voir.
«L’amour est la chose la plus complexe au monde ...tu pourra toujours choisir de le pardonner... Je ne doute pas de vos sentiments...Même si ton copin ne sais pas comment les exprimés...d’ailleurs un cours de gestions de colère ne lui ferais pas de tord...je suis certain que vous vous aimez et qu’en ce moment il s’en veux attrocement. Mais je te conseil de réfléchir a la souffrance que tu ressend présentement avant de te relancer ainsi...Et puis dit toi que peut importe tes désicions future tu aura toujours quelqu’un pour t’épaulé...Viens je vais t’ammenez a l’hopital.. Je vais restéavectoi jusqu’àce que tu arrête de pleurer et que je m’assure sincièrement que tu est bien rentré chez toi...Ta pas le choix...»
Il acquiesça, pour ce qui était de l'hôpital, mais pour le fait qu'il soit avec lui, honnêtement, il préférerai être tout seul. Mais pour le moment, il avait besoin de lui pour s'y rendre. Kuroko prit enfin le mouchoir que le brun lui tendit, essuya son visage avec, puis essaya de se relever en se tenant à la grille.