Aijiro Aguri

« Chaque lumière a ses ténèbres. »

► Nom : Aijiro ► Prénom : Aguri ► Surnom : Faut chercher là... ► Groupe Sanguin : O+ ► Orientation Sexuel : Hétérosexuelle ► Statut de Relation : Célibataire ► Age : 16 ans ► Date de Naissance : 9 février ► Nationalité : Japonaise ► Classe Social : Classe aisée ► Genre : Féminin, bien sûr ► Emploi : Étudiante et membre du club de basket [color=#cc66cc]► Résidence : Familiale ► Votre Lycée : Yôsen ► Faites vous partie de l'équipe de Basket de votre équipe? : Oui ► Capacités : Rapide, capacité à détourner l'attention d'autrui sur elle. Hypnotiseuse. ► Poste au basket : Passeuse ► Taille : 178cm ► Poids : 53kilos ► Peau : Pâle ► Yeux : Verts ► Cheveux : Rouges ► Accessoire : Baladeur mp3, casque autour du cou ou sur les oreilles ► Particularité : … Son style vestimentaire ? ► Corpulence : Plutôt grande, assez fine, sans grande surprise musculaire. ► Tatouage ou piercing? : Non~.

Mes émotions ? Tu ne les verras jamais. A quoi cela te servirait ?

« Gentille - Mystérieuse - Honnête - Taquine »

Aguri est ce personnage aux multiples facettes. Tantôt gentille, tantôt inexpressive. Une jeune femme qu'on a quelques difficultés à cerner. Cependant, cette demoiselle bien qu'excentrique au niveau vestimentaire, possède un caractère totalement différent. De nature calme et discrète, elle peut facilement détourner l'attention de n'importe qui, qui pose son regard sur elle. Seulement sur elle et les autres. Elle peut devenir le centre d'attention de quelqu'un et lui faire oublier jusqu'à même où il se trouve. Aguri n'a rien d'exceptionnel, cependant, ce « talent » peut lui être utile, car lorsqu'on tente d’échapper à quelqu'un, on lui demande de se mettre sur le chemin et bien sûr, sa volonté d'aider la pousse à le faire. C'est une façon d'hypnotiser ses adversaires. C'est contradictoire avec sa taille ; bien qu'elle soit un peu plus grande que ses congénères féminins, cela lui voue aussi à être plus présente dans les pensées de celui ou celle qu'elle fixe intensément.

Aguri a des qualités, tout comme des défauts. Premièrement, la demoiselle semble inexpressive. Quelques sourires, qui passent plus ou moins comme joyeux. Le fait est qu'elle sourit juste par politesse ou parce qu'elle en est forcée quelque part, tout ça parce que « Une fille doit sourire. ». Cela lui est égal, mais par principe, elle se doit de le faire. Tout se passe différemment dans sa tête, bien sûr, comme le fait qu'au fond, elle exprime sa colère d'une manière tout à fait différente de celle des autres.  Elle cache donc ses émotions autant que possible sans forcer.

Il est impossible de lui faire tirer les vers du nez. Que ce soit brutal ou non, elle ne dira que ce qu'il faut au moment voulu. Plus on la force, au plus elle semblera vraiment irritée. Elle ne supporte pas la curiosité, c'est la dernière chose que l'on doit faire avec elle. Aguri-chan est honnête, elle n'aime pas mentir, sauf en ce qui concerne ses sentiments ; que l'on le veuille ou non, la rousse restera infranchissable, peu importe les manières dont on dispose pour lui soutirer des informations, aussi subtiles soient-elles.

Légèrement taquine, elle ne pourra s'empêcher de taquiner un proche de son entourage. Gentiment bien sûr. Distinguée et polie, elle parle d'une façon très charmante, autant aux adultes qu'à ses camarades de classe. C'est ce qui fait, généralement, son charme. D'une gentillesse et d'une générosité incalculable, on pourrait croire Aguri naïve, ce qui est totalement faux. Elle est gentille et pourrait aider n'importe qui à condition que cette aide ne traverse pas les limites du tolérable. Elle déteste se faire passer pour un pigeon et si on ne veut pas la mettre définitivement en colère, il faudra éviter le passage ci-dessus.

En parlant de sa véritable colère, elle fonctionne comme un vase qui se rempli d'eau au fur et à mesure. Dès qu'il atteint le bord, il déborde et cela n'arrive que très rarement. Pour anecdote, sa plus grosse colère remonte à ses huit ans. Depuis, le calme persiste en elle. C'est une adolescente sentimentale, mine de rien. Elle aime les choses mignonnes et rêve également de son prince charmant. Une petite fille dans l'âme subsiste en elle. Pour finir, Aguri-chan est une demoiselle tout à fait banale, qui n'a aucun trait exceptionnel d'une autre demoiselle de son âge.

Si vous connaissez maintenant son caractère, certains détails ne vous échapperons pas : Vous remarquerez bien rapidement qu'elle est végétarienne. La vue de la viande la dégoûte tant et si bien qu'elle n'en mange pas, même un un petit morceau. Comparé aux jeunes, Aguri préfère les fruits aux sucreries, mais malgré cela, elle ne refuse jamais une glace à la pistache. Le thé à la menthe est son breuvage favoris et l'odeur de l'eucalyptus la rend euphorique. La demoiselle aime les jeux de déduction, comme ce célèbre jeu de société où il faut découvrir qui a tuer la victime, avec quelle arme et dans quelle pièce. Elle se met du parfum ; un mélange étonnant boisé et floral aux essences de patchouli. Enfin, la musique fait partie intégrante de sa vie, elle ne lâcherait pour rien au monde son lecteur de musique, ni même son casque qu'elle garde autour de son cou, sauf bien sûr en cours.

D'ailleurs, elle ne relâche jamais ses efforts, pour un devoir quel qu'il soit, elle se creusera les méninges pour parvenir à réussir. Aguri est une travailleuse, spontanée et assidue dans tout ce qu'elle entreprend. Si quelque chose ne semble pas la ravir dans ses cahiers, elle fera le nécessaire pour tout recommencer et ce, proprement. On pourra de toute façon affirmer qu'elle est perfectionniste. Même si la perfection humaine ne sera jamais... Parfaite.

Aguri est allergique à la fleur de Lys. Elle préfère la tulipe à la rose, et a la phobie des orages. Elle joue avec les insectes, encore à son âge.

On dit être heureux... Mais qu'est-ce, le bonheur ?

« Une fille doit sourire. »

Depuis toujours, Aguri a vécu dans les traditions. Bienséance, posture droite, politesse... Tout cela a fait partie de son apprentissage. Elle n'a jamais jamais pu comprendre ses parents. Tout ce qu'ils donnaient comme impression, était le fait qu'ils semblaient être présents par ''obligation''. Ils donnaient même l'impression de se détester. Aguri n'en fit qu'abstraction, à l'âge de quatre ans, on ne voyait pas vraiment les mauvaises émotions, elle était encore innocente et s'émerveillait pour une petite fourmis qui traversait le chemin de bois de la résidence. Quand on y pense, la petite fille était fascinée par les insectes. Elle se faisait remonter par sa mère souvent, alors qu'elle ramenait des araignées dans sa chambre, mais Aguri souriait toujours de manière innocente en répondant que les araignées étaient ses alliées de la nuit. Au final, ses parents furent habitués à ces intruses dans la chambre de leur petite fille et puis, ce n'était pas comme si ils étaient tout le temps à la maison... Ils ont fini par ne plus venir à ses anniversaires, plutôt préoccupés par leur travail pour ne pas se croiser que par leur petite fille qui ne faisait que grandir. Elle entretenu une relation plus saine avec sa tante, qui s'occupait d'elle. Cette femme lui apprit les bonnes manières et qui lui apprit ensuite à sourire. Ce sourire qui avait fini par se perdre au fil des années, qui n'avait plus lieu d'être sur ce visage d'une petite fille de huit ans.

Sa tante la laissait sortir, alors qu'elle n'avait aucun droit de quitter la résidence, sous aucun prétexte. Ce fut à ce moment là qu'elle découvert le basket pour la première fois. Les jeunes de la rue d'à côté jouaient entre eux, et c'est sous un regard émerveillé qu'elle les observaient se battre pour le ballon orange. Un scarabée entre les doigts, elle restait assise, regardant les paniers se marquer un par un. Alors que tous les joueurs rentraient et qu'elle allait rentrée, un des jeunes s'approchait d'elle. Il était forcément bien plus âgé qu'elle et il était le dernier encore présent. Il tenait le ballon dans ses mains, souriant à la petite fille de toutes ses dents.

« Hey ! Tu nous regardes depuis tout à l'heure, tu veux essayer de jouer ? »

Il lui tendait le ballon, toujours en souriant. Elle le regardait d'abord timidement, mais fut bien vite tentée de prendre le ballon en souriant de toutes ses dents.

« Apprends-moi, s'il te plaît. »

Aguri apprit alors à jouer au basket. Mais il se faisait tard et ce qu'elle ne savait pas, c'est que ses parents l'attendaient à la maison. Lorsqu'elle rentrait, la surprise et la colère se mélangèrent dans la pièce. Aguri tenait le ballon qui lui avait été offert par le garçon, fermement.

« Tu ne devais pas sortir ! »
« Que t'a t-il prit pour faire une folie pareille ?! »

Sa tante tentait de calmer le jeu en s'avouant être la fautive, mais c'était à croire que les parents de la demoiselle avaient une dent contre elle. Elle encaissait, depuis trop longtemps déjà... Tellement de tristesse de ne pas avoir eue le privilège d'être réellement aimée, de ne plus jamais voir ses parents. D'avoir été tenue à l'écart par leur égoïsme dégoûtant. La colère montait au fur et à mesure de les entendre. Et puis, elle éclatait. La stupeur s'afficha sur le visage des trois adultes, alors que cette petite rousse poussait des cris colériques à ses soit-disant parents. Personne ne pouvait donc comprendre ? Elle étouffait, elle voulait vivre et rencontrer des jeunes, grandir. Mais peu après cela, la jeune fille dû bien comprendre qu'elle était punie pour de bon. Enfermée chez elle, ne sortant que pour aller à l'école et revenir directement sans passer par la rue qui rejoignait le terrain de basket. Ce n'était pas « digne d'une fille ». Pourtant, elle rencontrait souvent le garçon qui lui avait offert le ballon, mais elle devait respecter les ordres de ses parents et il savait. Elle lui avait dit ce jour-là. Depuis, le ballon était resté dans sa chambre, ce même ballon qu'elle ne touchait plus. Et puis, finalement, à l'aube de ses quatorze ans, Aguri pouvait enfin respirer. Leur travail oblige, les parents de la rousse durent se résigner à la laisser faire ce qu'elle voulait. Mais il était trop tard pour rendre à cette enfant le sourire qu'elle ne pouvait plus faire sans forcer. Depuis, elle apprit à manier son talent au basket en intégrant l'équipe féminine du collège. Elle se spécialisait dans la déconcentration de ses adversaires pour ainsi subtiliser la balle et la passée à une autre de ses camarades. Plus les années passaient, plus Aguri prenait plaisir à jouer au basket, c'était devenu une passion, si ce n'était plus que cela. Aujourd'hui, elle a intégré Yôsen, et travaille toujours aussi dur pour se perfectionner encore dans sa technique d'hypnotisme.

Alice

«Parce qu’il y a toujours un ange derrière un diable !»

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