Kaisuki Aria

« Les obstacles ne doivent pas vous arrêter. Si vous vous trouvez face à un mur, ne faites pas demi-tour et n’abandonnez pas. Trouvez comment l’escalader, le traverser ou le contourner. »

► Nom : Kaisuki ► Prénom : Aria ► Surnom : Flèche ► Groupe Sanguin : O ► Orientation Sexuel : Ne s'en préoccupe pas ► Statut de Relation : Pareil ► Age : 17 ans ► Date de Naissance : 14 Février ► Nationalité : Japonaise ► Classe Social : Aisée ► Genre : Fille ► Emploi : Aucun ► Résidence : Appartement ► Votre Lycée : Seirin High ► Faites vous partie de l'équipe de Basket de votre équipe ? : Non ► Capacités : // ► Poste au basket : // ► Taille : 1m68 ► Poids : 47 kilos ► Peau : Blanche ► Yeux : Orange / Rouge (lentilles) ► Cheveux : Blond ► Accessoire : Appareil photo qu'elle garde toujours avec elle et un couteau dans sa botte ► Particularité : Possède des yeux très clairs ► Corpulence : Maigre ► Tatouage ou piercing? : Tatouage au niveau de l'omoplate gauche représentant un ballon de basket (tatouage éphémère)

Elle a l'air banal mais en fait elle est...

Aria possède un esprit combatif hors du commun. Cette dernière, bien que très compétitive, déteste être dans les derniers et est une très mauvaise perdante. Également, même si elle a connaissance de ses fautes, elle ne les avouera jamais.

Aria c'est quelqu'un qui n'aime pas parler et franchement, elle ne se forcera jamais à le faire sauf si elle se sent obligée. Cette dernière reste très froide et impassible lorsqu'on la dérange c'est-à-dire presque tout le temps. Malgré cela, Aria est quelqu'un de très poli et de très respectueuse : chose que jamais elle ne montrera aux autres.

Aria est solitaire, asociale et hais quelque chose en particulier : qu'on touche à son corps. Même sans le faire exprès, la toucher pourrait la faire entrer dans une colère noire, ceci depuis ses dix ans (cf. histoire). Si Aria ne parle que très peu, personne ne l'a jamais vu sourire mis à part ses parents lorsqu'elle n'était encore qu'une enfant, insouciante et pleine de vie.

Si vous la cherchez, vous la trouverez, cela ne fait aucun doute. Aria a un tempérament de feu depuis qu'elle a commencé le basket, elle n'accepte aucune remarque, elle n'accepte plus qu'on l'ignore. Et pourtant, rare ne sont pas les fois où l'on ne lui prête aucune attention.

J'ai beaucoup malgré mon age...laisse moi te le montrer...

« Si tu nous lâches maintenant, tu lâches le basket pour toujours. »

Février 1996, Aria voit le monde à Tokyo. Parents riche, fille unique, vie facile. Une enfant heureuse, une enfance comme toutes les autres ; des pleures, des sourires, des rires. Aria ne parle pas beaucoup et bon nombre des gens de son entourage s'inquiètent, toutefois, c'est par choix qu'elle ne le fait pas. Elle apprend à marcher, faire du vélo, parler, compter etc. C'est une enfant ni surdouée, ni sous-douée, juste normale. Sa mère tombe enceinte d'un enfant lorsqu'elle n'a qu'un an et demi, un petit garçon qu'Aria n'aura pas le droit de voir jusqu'à ses 15 ans. Elle développe très rapidement des qualités exceptionnelles vis-à-vis du sport : très rapide, endurante, motivée. Dès l'âge de 5 ans, elle joue au foot, au basket, elle fait du tennis et du badminton.

Malgré son amour pour le sport, ses parents finissent par se lasser de la petite fille. Elle n'est pas capricieuse, toujours souriante et très gentille, elle ne met aucun piquant dans leur vie de riches personne. Le père, complètement désintéressé de l'enfant ne se préoccupe plus que de son travail de juge. Sa mère, écrivaine, passe son temps dans le bureau. Aria se voit contrainte de jouer avec la servante qui, elle, n'aime pas réellement se salir et encore moins les jeux de ballon qui se déroulent souvent dans la terre, dans la boue.

Aria perd peu à peu son sourire et intègre l'équipe de basket de son école, elle passe beaucoup de temps à s'entraîner et ne passe pas un jour sans le faire. Durant les vacances, afin de se séparer de leur fille, de se débarrasser d'elle, ses parents l'envoient dans un camp spécialisé dans le sport où elle peut profiter à fond du temps qui lui est accordé. Seulement, Aria souffre beaucoup de cet abandon mais, elle ne le montre pas.

Alors qu'elle atteint l'âge de 10 ans, son père, de plus en plus furieux se met à la battre, sa mère ne dit rien, elle le sait mais contente de laisser faire. À chaque fois que son équipe perd un tournoi, à chaque fois qu'elle ramène une mauvaise note, casse quelque chose ; tout est prétexte à la battre. La nuit, elle se fait enfermée dans les toilettes dont l'odeur, nauséabonde, la fait pleurer durant des heures alors qu'elle supplie qu'on la laisse sortir.

Aria ne sourit plus, elle ne fait plus aucun effort pour cela. Alors qu'elle atteint l'âge de 14 ans, toujours dans l'équipe de basket au rang de meneuse, toute l'équipe conte sur elle pour le match à venir qui décidera de leur classement. Aria, toujours battue est couverte de bleue, à mal aux muscles et ne peut pas faire un pas sans tituber. Seulement, obnubilé par le match, personne ne le remarque.

Le jour J, toutes les joueuses sont prêtes, le match ne va pas tarder à commencer, Aria n'est toujours pas là. Absente au match, tout le monde s'inquiète : jamais elle n'a fait faux bond à l'équipe et elle était la plus motivée. Cette dernière, arrive finalement. Les joueuses remarquent son état déplorable mais, la force à jouer. Quinze minutes de jeu, avantage pour l'équipe de Aria. Soudan, en pleins milieux, la jeune femme s'écroule, elle ne réagit plus. Autour d'elle, on la hue, on lui cri que si jamais elle arrête maintenant, le basket, c'est fini pour elle. Elle repense à tout ce qui lui est arrivé de bien depuis qu'elle a commencé, elle essaie de se relever.. En vain, Aria tombe dans le coma.

À son réveille, trois mois sont passés, la fin des cours, l'équipe à gagner sans elle mais, plus aucune de ses anciennes amies ne veulent la voir, elle a perdu son copain - ancien basketteur - et ses parents la traitent comme une moins que rien. Les mois se remettent à s'écouler, elle s'occupe de son petit frère quand elle peut et tant bien que mal, son père continue à la battre jusqu'au jour où elle apprend que ses parents l'on inscrite dans un lycée où ce pratique le basket. Elle voit à quel point ils la haïssent et décide à contrecoeur d'y aller. Ce lycée n'est autre que Seirin High.

Pseudo ou Prénom

«Parce qu’il y a toujours un ange derrière un diable !»

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