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SUZUKI HARU
Histoire

Au début il n'y avait que lui, que ce garçon aux grands yeux couleur sang, aux larmes amers et lourdes de sens. Cet enfant a la peau laiteuse et maladive. Ce gosse aux cheveux en bataille aussi blanc que les premiers flocons de neige. Il n'y avait que lui et seulement lui. Mais à cette époque il avait déjà cinq ans.

Atsuharu naquit un soir de printemps 1996 dans la magnifique capitale de Londres. Fils bâtard d'une liaison extra-conjugal, il aurait pu avoir une chance dans la vie. Mais il n'était pas né sous une bonne étoile. Fils d'une magnifique rousse et d'un asiatique de passage, il arriva dans ce monde blanc comme neige. Les yeux rouges comme les flammes de l'enfer. Les parents n'hésitèrent pas longtemps avant de l'abandonner dans un orphelinat. Là où il fut oublié de tous.

Au début il n'y avait que lui, que ce garçon aux grands yeux couleur sang, aux larmes amers et lourdes de sens. Cet enfant a la peau laiteuse et maladive. Ce gosse aux cheveux en bataille aussi blanc que les premiers flocons de neige. Il n'y avait que lui et seulement lui.

Puis il y eut James. Il avait le même age que lui. Néanmoins, il était plus grand qu’Haru. Celui-ci était habitué a être rejeté de tous et les moqueries n’alla pas a son encontre, a quoi bon ? James venait de perdre sa famille dans un accident, il avait participé a celui-ci. Son front était recouvert de bandelettes cachant une commotion sûrement. Ses cheveux chatain et ses yeux doré faisait craqué quiconque le voyer. Mais, car il y avait un mais, son physique angélique contrasté avec son mental plutôt « spécial ». Un véritable psychopathe, un tueur en puissance. Leur rencontre se fit deux jours après l’arrivé de James. Alors qu’Haru était le centre des moqueries, James vint prendre sa défense. C’est alors que commença leur amitié. Une relation des plus étrange. James mener tout, Haru le suivait comme un toutou, mais il ne se passer pas une minute sans que James ne pose son regard doré sur ce visage immaculé de son protéger. Il lui demandait toujours ce que celui-ci souhaitait faire. James c’était approprié Haru. Ils passaient leurs temps dans la bibliothèque dès qu’ils surent lire. Ils montrèrent très vite une intelligence très développé, et d’énorme facilité pour les études.

Les années passèrent calmement, de temps a autres, James perdait tout contrôle et la simple présence d’Haru le calmer. Les deux enfants dormaient quasiment toutes les nuit dans le même lit, pour se rassurer disaient-ils. Cependant Haru se différencia de James dans une matière : l’art. Il comprenait très facilement cette matière difficile. James de son coté ne comprenait rien, mais c’était découvert une passion pour le basket. Ils avaient alors neuf ans. Lorsque James jouait – jamais si Haru n’était pas la en cas de perte de contrôle – l’albinos le dessiner. Leur vie était simple. Elle était la leur.

Toutefois, tout à une fin. Haru venait de fêter ses dix ans, lui et James étaient sortis fêter ça. Ils avaient beaucoup ri et s'amusaient dans la rue. James venait de lui offrir un magnifique cadeau, un bloc a dessin et ses crayons. Il marchait devant avec un immense sourire. Il n'avait d'yeux que pour son meilleur ami. A chaque fois que leurs regards se croisaient, son coeur s'accélérait, ses joues le brûlaient et il se sentait étrangement bien. Il ne voyait que James. Il ne vit pas le camion. Il ne l'entendit pas arrivé. Il sentit seulement une poussé. Il eut uniquement mal au dos. Lorsqu'il se releva il hurla. Il pleura. Son coeur se brisa. James était défiguré, démembré sur la chausser, baignant dans son sang.

Il le pleura des jours entiers. Et petit a petit il se sentit mieux, il le voyait. Il le sentait. James lui avait toujours dit qu'il serait a jamais dans son coeur et il disait vrai. Ce n'était au départ qu'un simple ami imaginaire. Mais les mois passèrent et son traumatisme ne partait pas et alors que les orphelins s'amusaient de nouveau à le ridiculisé « il » apparut. James avait toujours voulu être médecin, c'est peut-être pour ça qu'il voulait les disséquer ? Néanmoins, il révéla une deuxième personnalité qui le protégeait.

Alors qu'il allait sur sa douzième année de vie, un homme apparut. Il était asiatique. Grand, mince et sombre. Il portait des lunettes fines et élégantes. Haru l'observa du quoi de l'oeil de son regard rubis. L'homme l'observa également, il lui parla avec un fort accent. Et puis il partit dans le bureau de la directrice. L'albinos ne s'en focalisa pas plus et retourna dans son livre. Jusqu'à ce qu'on l'appelle. (cf. mental)

Ses doigts caressaient les touches dans un touché rapide et élégant. La mélodie embaumée la pièce. L’homme assit dans son fauteuil l’écouté les yeux fermé, ses lunettes dans sa main, un sourire fin sur les lèvres. A ces coté sur un autres fauteuil, une jeune femme, belle et élégante. Elle tenait dans ses bras un petit garçon qui papillait joyeusement a l’entente des notes. Cela faisait quatre ans qu’il vivait chez Mashiro et Yuki. Quatre ans qu’il avait un nom. Quatre ans qu’il avait des parents mais il était encore dure pour lui de toujours les appelé ainsi, papa et maman. Et depuis six moi il avait un petit frère Yukiro. Il les aimait autant qu’il le pouvait. Sa famille était riche. Et en fils de bonne famille il avait du apprendre a jouer d’un instrument, une chance pour lui il était doué et finalement jouer de plusieurs instrument. Du piano bien entendu, mais le violon l’avait séduit et par se doigté il avait fait toutes la série (l’alto, le violoncelle, et la contrebasse ne lui était plus inconnu).

Bien entendu il avait continué l’art, celui que James aimait tant. Mais il avait commencé à jouer au basket, en memoire de son seul ami. Il était la fierté de son père et de sa mère. Bien qu’au début tout fut compliqué, les crises, et surtout la stupeur de leurs amis. Etre blanc a Londres – ville excentrique - n,’est pas un problème mais au japon ou tout les monde est brun, il était facilement visible. Néanmoins il c’était habitué a cette différence.

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SUZUKI HARU
Mentalement

« Et bien je conçois monsieur Suzuki que votre dossier est parfait. Néanmoins, je me dois de vous déconseiller votre choix. Je comprends qu'aux premiers abords il a l'air d'un enfant charmant, mais il est très perturbé et de plus il a des sautes d'humeur très dangereuse, il a développé une double personnalité très inquiétante. Soyons réaliste, un albinos avec vous ? Je... »

« Madame, fermez là. Si vous nous laissez approcher les enfants c'est bien pour les connaître. Ce garçon est tout ce que je cherche. Le premier de sa classe, intelligent et en plus un artiste. Il ne parle pas trop. Timide comme vous l'avait inscrit sur son dossier. Certes je vois bien qu'il est blanc, mais pour moi ce n'est pas dérangeant, vous souhaitez réellement gardé un gosse enfermé ici jusqu'à sa majorité ? »

« Mais monsieur, il ... »

« Il est parfait, doué en étude, un génie, c'est un petit Picasso et un prodige de la photo ! Vous me dites que depuis la perte de son ami il est devenu violent ? Et bien nous ferons attention à ce qu'il ne s'énerve pas ! Je veux cet enfant, je l'aurais. Il est gentil, calme et attentionné. A chacune de mes visites il sourit, il a mille sourires madame et puis j'ai décidé de faire de lui mon fils, il n'en sera pas autrement. »

« Bien, alors je vous laisse lui annoncer la bonne nouvelle. »