Les vacances d'été étaient finies depuis un moment, et les élèves étaient ainsi contraints de retourner en cours. Septembre amenait doucement l'automne avec lui, et les températures chutaient lentement mais sûrement, petite entrée en matière pour la plus colorée des saisons.
Ce jour-là, Akashi Seijuro quittait ses cours avec enthousiasme, plus que ravi de délaisser ses études pour aller participer à l'entraînement du club de basket dont il faisait partie. Le niveau des joueurs de la Rakuzan High avait beau être élevé, il ne leur fallait pas se reposer sur leurs lauriers. En effet, ils n'étaient jamais à l'abri d'une dure compétition, contre des adversaires de valeur égale à la leur. Aussi Akashi, malgré ses antécédents glorieux, ne pouvait se permettre de manquer un de ces trainings spéciaux qui rendait souvent leurs jambes flageolantes. Il en allait de son honneur, mais surtout de sa dignité.
Il rejoignit ainsi les vestiaires, se changea en vitesse en compagnie de ses partenaires de jeu, et alla par la suite sur le terrain. Grand, le parquet impeccablement lustré, il accueillait en temps normal un grand nombre de joueurs, de tous les niveaux : des forts, des plus faibles, ainsi que eux, les titulaires. Ils s'alignèrent, afin d'écouter les indications du coach, et commencèrent leur entraînement. Le crissement des chaussures sur le parquet se fit bientôt entendre et, peu à peu, le bruit sourd des ballons rebondissant sur le sol emplit lui aussi la pièce. Le temps passa rapidement, entre les entraînements plus individuels et spécifiques et les matchs. Et, bientôt, il fut l'heure de quitter le gymnase.
Akashi resta là, à attendre la sortie de ses camarades. Il souhaitait poursuivre encore un peu, maintenant qu'il était correctement échauffé. Il attrapa alors une balle, dribbla un moment, avant de marquer un panier, avant de se stopper une fois de plus pour fermer les yeux. Il appréciait ces instants privilégiés avec lui-même et ce ballon orange qui dictait sa vie toute entière, où seuls résonnaient dans l'air sa respiration sifflante après l'effort, où il ressentait plus que jamais tous ses muscles qui le tiraient. Il était là, seul, au calme, et il se sentait tellement...

- Ara, quel beau panier Aka-chan ♥.

… apaisé ?
Il se retourna, ses fins sourcils se fronçant légèrement, et considéra durant quelques secondes le lycéen. « Aka-chan » ? Et puis quoi encore ? (Il soupira.) Oh, bien sûr, il le reconnaissait – sans pouvoir dire pour autant qui il était, bien entendu. Ce type, il en était persuadé, ne faisait que le poursuivre à longueur de journée, son appareil photo en main, à le mitrailler de toutes parts. Il l'avait aussi vu, là-haut, dans les gradins, à ne pas le quitter des yeux. Voilà bien la première fois qu'il engageait la conversation. Seijuro ne comprenait pas ce qu'il voulait.
Il tenta de calmer sa respiration et, ne lui portant pas plus d'attention que cela, se dirigea vers le banc où l'attendait son sweet. Il essuya furtivement la transpiration qui perlait sur ses tempes avec son maillot, fit de son mieux pour décoller ses cheveux de son front, avant d'attraper le survêtement et de nouer ses manches autour de son cou.

- Merci, répondit Akashi d'un ton plutôt neutre. Ce n'était qu'un shoot, après tout – pas de quoi fouetter un chat.

Il se retourna ensuite vers l'importun, et le dévisagea. Les cheveux blancs, les yeux bleus, plutôt... Petit. Plus petit que lui ? Woah. Tout de même.

- Hm, tu es ?

Pas que son nom l'intéressât réellement... Mais bon, savoir à qui on parle, c'était toujours mieux, pas vrai ?

[HRP : No souci :3 Au final, je fais pas plus long, mais j'ai aussi envie de répondre avant de me coucher... Rafl ><]


Sentir le regard du lycéen posé sur lui de cette manière le troublait quelque peu, sans pour autant le désarçonner complètement. Évidemment, Akashi avait l'habitude d'être fixé durant des heures – et ça ne le dérangeait pas vraiment ; pour tout dire, il s'en fichait. Simplement, ces yeux-là possédaient autre chose ; quelque chose comme une étincelle vivace qui dansait au fond de ses prunelles, et semblait accompagner ce sourire aux allures si moqueuses, si détestables.
Mais peut-être ne méritait-il pas autant d'attention de sa part.

-Ha je m'excuse je ne me suis pas présenté, c'est impoli ♥. Je m'appelle Shiroi Hayato et je suis en 3ème année. Je fais partie du club de journalisme. Enchanté de te rencontrer ♥, se présenta le troisième année, élargissant progressivement son sourire.

- Je vois, lâcha simplement le rouquin, hochant légèrement la tête. Il ne pensait pas nécessaire de se présenter ; il l'avait appelé par son nom. (Ou plutôt par un surnom ridicule, si l'on cherche un terme à l'exactitude la plus parfaite, mais enfin, cela prouvait bien qu'il savait qui il était, pas vrai ? Donc, aucune importance.)

Il ne rajouta rien de plus, se contenta de glisser un oeil sur l'appareil photo qu'il tenait, avant de se détourner à nouveau. La balle de basket qu'il avait utilisée auparavant gisait toujours sur le sol, abandonnée là quelques instants plus tôt. Il la ramassa, la rangea précautionneusement à l'emplacement prévu à cet effet, avant de se tourner vers son aîné, un sourire fin étirant la commissure de ses lèvres.

- Club de journalisme, hein ? souffla-t-il un peu plus pour lui-même, après un temps de flottement.

Il comprenait presque, à présent, pourquoi il le suivait partout.

- Et que viens donc faire un membre de ce club dans le gymnase ? Il n'y a pas grand chose à voir, continua-t-il, toujours sans se départir de son sourire amusé.

Bien entendu, il en connaissait la réponse ; en premier lieu, le club de Rakuzan High était fort, et plutôt renommé. C'était d'ailleurs pour cette raison-là qu'il s'était dirigé vers lui pour son entrée au lycée. Un club parfait pour un joueur aussi fort et ambitieux que lui. En second lieu... Il y avait lui. Le capitaine de la Génération Miracle. Cela suffisait probablement à justifier tout le reste.

Pendant un instant, Akashi eut l'impression de voir une lueur d'incompréhension dans les yeux clairs de son aîné, avant qu'il ne se reprenne de lui-même. Cela ne fit qu'accentuer son sourire. Il se détourna pourtant, se rapprocha du banc, et attrapa sa bouteille d'eau qui traînait dans un coin.

-Il y a toi, je trouverais ça suffisant pour venir ici si l'équipe n'était pas déja particulièrement balèze. Je t'ai vu jouer une fois et je dois dire que c'était assez impressionant ♥.

L'auburn releva un œil vers le fameux journaliste, tandis qu'il se désaltérait tranquillement, tout en tâchant de reprendre un souffle un peu plus calme. Vu comme il avait transpiré, il ne supporterait sûrement plus longtemps la compagnie du lycéen avant de se jeter sous une douche bien méritée. De plus, il commençait à avoir légèrement froid, maintenant qu'il ne bougeait plus.
Les déclarations du blandin manquèrent de lui arracher un léger rire. Seijuro n'avait pas réellement besoin qu'on lui répète qu'il était impressionnant pour le savoir, mais il trouvait tout cela très édifiant, et parfait pour son moral. Dites à un narcissique qu'il est beau, et vous ne pourrez que le mettre en de parfaites condition pour une possible-voire-probable suite de discussion. Rien que pour ça, il décida de lui accorder quelques minutes de son si précieux temps.

- Oui, je sais.

Seijuro, après un temps d'hésitation, dénoua son survêtement pour l'enfiler, avant de croiser les bras sur sa poitrine. Le gymnase n'était pas aussi bien chauffé que ce qu'on aurait pu croire, visiblement.

- Tu souhaitais quelque chose en particulier, sinon ? lui demanda-t-il finalement, coupant court aux politesses d'usage.

Évidemment, cela ne l'intéressait pas non plus réellement ; il rêvait juste de débarrasser son corps de toute cette sueur.

Seijuro revint dans le gymnase, et se planta devant le blandin, une main sur sa hanche, l'autre accrochée à la bandoulière de son sac, ses yeux dissemblables plongés dans ceux de son vis-à-vis. Il ne put, une fois de plus, s'empêcher de froncer les sourcils devant le regard que lui lançait Hayato. Il n'aimait pas du tout la lueur malsaine qui dansait au fond de ses prunelles, semblable à celle d'un prédateur guettant sa proie. Un léger frisson le parcourut, et, cette fois, ce ne fut pas à cause du froid.
Il ne supportait pas d'être à la place de la bête traquée.

-Va pour un soda ♥. Et puis si vraiment je t'embête à ce point tu peux me le dire au fait. Après je te garantis pas que ça me fera partir ♥.

Un nouveau sourire, un peu sarcastique et forcé, fendit les lèvres de l'auburn. Évidemment, ça, il s'en doutait. Autrement, il lui aurait probablement déjà fait part de sa manière de voir les choses. Probablement.

- Ce serait donc inutile de le dire, et sans intérêt aucun.

Il se contenta juste de hausser les épaules.

- On aura qu'à dire que je suis dans un de mes bons jours, se moqua-t-il doucement.

Akashi le suivit jusqu'à la sortie du gymnase, éteignit les lumières, et passa devant lui alors qu'Hayato tenait la porte en l'attendant. Les deux lycéens rejoignirent l'entrée du lycée, devant lequel se trouvait un distributeur automatique de boissons. Une fois les deux sodas relâchés par la machine, le blandin lui lança le sien et commença à boire.

- Merci.

-Alors ♥ ? Tu joue depuis combien de temps ? J'ai entendu dire que tu étais capitaine à Teiko depuis ta première année mais t'as du commencer avant non ?

Akashi fit de même, savourant le fluide sucré lui coulant dans la gorge. (Note 1.)
Il réfléchit un instant à ce qu'il pouvait lui répondre.

- Hmm... Un moment.

Il croisa ensuite les billes bleues du membre du club de journaliste, avant de soupirer. D'accord, il souhaitait des indications précises. Il pouvait bien lui offrir ça, déjà qu'il n'était pas la personne la plus aimable à interviewer.
Il reprit une gorgée, s'appuya contre le mur le plus proche. Autant être honnête, il n'avait rien à perdre.

- Je jouais déjà lorsque j'étais au primaire. J'ai toujours eu une certaine affinité avec le basket. (Il eut un petit sourire, un peu plus sincère.) Sinon, oui, j'ai commencé avant, mais je saurais pas vraiment situer le moment exact. C'est un peu trop vieux pour que je puisse m'en rappeler.



(Note 1. HRP : Je le laisse que pour toi, celui-là... T.T *a honte* Le pire, c'est que je sais plus ce que je voulais mettre après ça... Ça m'a troublée... T.T)

HRP : Tu peux me rajouter, ahah ♥


Akashi continuait à le fixer dans les yeux, paraissant presque attendre la suite de ses questions. Portant sa canette à ses lèvres, observant l'autre lycéen faire de même, ne bougeant pas le moindre muscle. Il lui sembla même, pendant un instant, le voir se troubler. Certainement son attitude désinvolte, alliée à son regard glacial – la force de l'habitude, vous savez ! – en était la cause ; il n'aurait néanmoins pas pu se prononcer.
Puis, le membre du club de journalisme posa une question qui désarçonna complètement l'auburn, qui stoppa tous ses mouvements.

-Je me demandais. Qu'est-ce qui te plait autant dans le basket ? J'ai du mal à comprendre comment on peut aimer ça à ce point.

Ce qui lui plaisait autant dans le basket ? Il ne savait pas non plus. Il aimait ça, sentir ses muscles se tendre durant l'effort, le bruit violent de la balle contre le parquet reluisant, le grincement des semelles glissant sur le sol, ses cheveux qui volaient autour de son visage, le bonheur de mettre un panier et celui, encore plus grand, de gagner face à des adversaires de valeur. C'était sûrement un peu pour tout ça qu'il « aimait ça à ce point », comme Hayato le disait si bien.
Il but à nouveau une gorgée de sa canette, avant de se décider à lui répondre, quoi qu'un peu énigmatiquement :

- Et toi, qu'est-ce qui te plaît autant dans le métier de journaliste ?

Il lui lança un sourire espiègle.

- J'aime tout, du crissement des chaussures à la texture de la balle. Ces moments interminables où l'on pense que l'on a perdu. Cette explosion de fierté lorsqu'on se rend compte qu'on a gagné.

« Et celle lorsqu'on se rend compte qu'on les a, au final, tous écrasés, » compléta mentalement Seijuro. Et puis, il devait avouer que la satisfaction de voir la tête dépitée de ses adversaires jurant qu'il était trop petit pour y jouer est assez hilarante.

Il semblait au jeune basketteur, et ce depuis plusieurs minutes déjà, que ce sourire revenait un peu trop souvent sur les lèvres du blandin. Un peu comme lui-même, d'ailleurs ; un sourire hypocrite, moqueur ou mesquin, parfois les trois à la fois. Un sourire qui semblait comme figé sur son visage, étirant ses lèvres en ce masque froid et hautain, que venaient compléter ses yeux de fauve. Seijuro n'aimait pas ce que ce sourire augurait. Ce n'était pas un mauvais pressentiment... C'était autre chose, qu'il ne parvenait pas à nommer. Mais certainement pas de la peur.
Il voulut secouer la tête pour chasser ces bien sombres pensées, mais se retint : cela n'aurait pas fait très sérieux en face d'une personne aussi avide de renseignements que le journaliste. Il était Akashi Seijuro, que diable !

-Je connais un peu ce sentiment et effectivement c'est très agréable ♥. Je ne fait pas de sport mais je joue parfois au shogi et c'est vrai que gagner a des effets incroyables.

La fin de la phrase de l'aîné laissa planer un léger silence, durant lequel Akashi fixa longuement son vis-à-vis sans bouger un muscle, laissant à peine l'occasion à ses yeux de cligner. Puis l'auburn pencha légèrement la tête sur le côté, et laissa un véritable sourire – quoi que léger – peindre ses lèvres. Le ciel lui envoyait-il un adversaire ?

- Eh bien, dans ce cas, il faudrait que nous jouions tous les deux. Je suis moi-même un grand amateur du shogi.

Il finit sa canette d'un trait, avant de lancer, espiègle :

- Par contre, je te préviens d'avance : j'ai plus de chance d'être battu au basket qu'à ce jeu.

Et quand on voyait son niveau au basket... On avait aucune raison de croire qu'il pouvait perdre, n'est-ce pas ?

-Mmh, ça sera surement intéressant de jouer contre toi une fois ♥. Je n'ai pas souvent de partenaire aussi je ne peux pas dire si je suis bon mais après l'important c'est que ce soit amusant ♥.

Akashi l'observa mettre à la poubelle sa canette vide, tout en s'amusant à déformer la sienne dans un bruit qu'il aurait pu juger insupportable si il n'en avait pas été l'instigateur. En levant les yeux un instant, il constata que le soleil commençait à se coucher, mais n'en tint pas compte. Il lui laisserait encore un peu de temps.
Il hocha la tête, reportant son attention sur le bout de métal tordu entre ses doigts fins ; lui non plus n'avait jamais réellement de partenaire. Depuis la séparation des membres de la Génération Miracle (cette image de divorce manqua de le faire éclater de rire), Akashi ne pouvait plus jouer contre Midorima et avait perdu un adversaire de valeur – même si celui-ci n'était jamais parvenu à le battre, mais soit. Aussi s'entraînait-il seul durant de longues heures, parfois même pendant les heures creuses où sa salle de classe était déserte – certainement parce que se retrouver dans la même pièce que Seijuro en train de jouer tout seul au shogi avec un air halluciné n'était pas des plus rassurant. Et il les comprenait.

– L'issue de la partie est aussi amusante – et importante – que la partie en elle-même.

Il releva les yeux, fixa à nouveau Hayato, ressortant son sourire dans le même temps. (Il n'arrêtait pas, et ses muscles faciaux commençaient à fatiguer ; qu'importe.)

– J'ai hâte, lâcha-t-il finalement sans réellement s'en rendre compte, presque dans un murmure.

Akashi lança à son tour sa canette dans la poubelle, se lassant bien vite du bruit grinçant qui en échappait lorsqu'il la triturait de la sorte. Il constata bien vite que le blandin ne semblait pas non plus apprécier plus que ça le vacarme produit, vu les yeux froids qu'il posait sur l'objet, et celui-ci dû sûrement être soulagé lorsqu'il la jeta aux ordures. Glissant ses mains dans les poches de son pantalon, se craquant la nuque, le cadet se décolla du mur un instant.

-Et bien je serais ravi de faire une petite partie avec toi durant mon prochain temps libre ♥. Je passerais te voir dans ta classe ♥.

Il les imagina tous deux en train de jouer, entourés de ces personnes qui n'osaient même pas s'approcher d'eux à moins de trois mètres de distance – au minimum, cela allait de soi. Cette image manqua de le faire rire une fois de plus. Ou, plutôt, l'image des visages un peu choqués de ses camarades de classe lui paraissait-elle un bon moyen de se divertir. Il ne doutait évidemment pas qu'Hayato soit du genre à mettre mal à l'aise le commun des mortels, et son association avec lui-même avait un air un peu surréaliste, mais oh combien tentant. D'après lui, la salle serait même vide – et très vide.
L'auburn hocha doucement la tête.

– Eh bien, voilà qui est décidé !

Par là, il entendait bien évidemment qu'il comptait sur sa parole. Il avait toujours une nette tendance à prendre les gens au mot.
Il jeta néanmoins un coup d'œil sur son portable pour regarder l'heure, qui lui prouva que le temps avait passé bien vite.

– Et sinon, tu as d'autres questions à me poser ?

Hayato lui lança un nouveau sourire bien hypocrite, et Akashi fit de même.

-Pas pour l'instant, j'en aurais peut-être la prochaine fois ♥. J'ai été ravi de discuter avec toi Aka-chan. Je suis impatient de faire cette partie maintenant ♥.

– Oh, mais moi de même.

Songeur, l'auburn le fixa alors qu'il s'éloignait, après l'avoir salué d'un petit hochement de la tête, perdant tout à coup son sourire puisque plus rien ne le contraignait à le faire. Ou plutôt puisqu'il n'y avait plus personne qui pouvait lui faire se dire qu'il était contraint de sourire comme un con pendant toute une conversation, mais soit, la différence n'est pas si remarquable.
Akashi commença son trajet du retour, tenant toujours la bandoulière de son sac. Pfiuh... Il était complètement crevé.
Ce type titillait sa curiosité comme jamais – il n'avait pas pour habitude d'être intéressé par les autres. Il avait ce masque qui l'empêchait de voir son véritable visage, et il se demanda soudainement pour quelle raison il avait finit par en être empreint.
Tout cela l'excita au plus au point. Ce masque allait tomber, il en faisait le serment.