Le centre commercial, l'endroit des soldes. Il comportait de nombreux magasins de vêtements que Moimoi avait repéré et bien sûr, elle n'était pas la seule fille à attendre les soldes. Jeune ou plus âgé, il y aurait sûrement du monde à l'entrée des magasins.

L'as de la génération miracle était vraiment content d'avoir de l'aide, même si ce n'ai pas du basket, il devait reconnaitre que cette fois-ci, le faire seul est beaucoup plus compliqué. Il ne s'était pas douté une seule seconde que Momoi pouvait être aussi... féminine, ce n'ai pas une fille négligée loin de la, mais c'est le genre de personne beaucoup plus attirée par le basket que le maquillage et autre trucs sordide. Peut-être qu'il l'aurait remarqué plus tôt s'il ne passait pas son temps à dormir au lycée ? Sûrement.

Entrée dans le bâtiment, il fut surprit par la grandeur du hall. Spacieux, bien décoré, avec des escaliers en son centre montant aux étages supérieurs. Il faut dire aussi qu'Aomine n'est pas le genre de personne à trainer dans les magasins quand il peut dormir à côté. Il regarda à nouveau son portable et déglutit, la liste était longue, très longue, elle ne s’achetait rien de l'année ou quoi ? A quoi peut bien lui servir plusieurs vêtements si elle en a qui lui vont, c'est la pensée limité de la plupart des hommes, malheureusement ou heureusement plutôt ~

-Bon d'après Satsuki, c'est en haut les vêtements.

Il soupira et rangea son portable avant de se diriger vers les escaliers tout en réfléchissant à ce qui allait se passer en magasin, Momoi avait l'air plutôt pressé, pourquoi ? C'est pas la mort les soldes ! Aomine s'arrêta de monté les escaliers quand il remarqua qu'il n’avançait pas et qu'en face les autres personnes montaient. Super en plus de prendre des escalators, il avait prit le mauvais sens ! Il manquait quoi encore ? Que des petits poney débarquent par la fenêtre ? Il descendit vite de sa file pour prendre, Aoki allait bien se foutre de sa gueule, c'était sur.

Quelques secondes plus tard, ils étaient enfin en haut ! Aomine maudit intérieurement les escalators et continua, enfin pas la peine de chercher. Il y avait un masse de femmes à l'entrée de plusieurs magasins de vêtements, mais pas des femmes civilisés ! Des bêtes sauvage attendant l'ouverture ! Premièrement, la lingerie féminine, super en plus d'affronter une horde de furie, ils allaient passer pour des pervers... après ça il ne reparlera plus à sa Satsuki pendant une bonne semaine.

-Oh god, pourquoi j'ai accepté ça...

Le foule se pressaient contre la vitre du magasin et de ceux aux alentours, Aomine avait du mal à s'imaginer comment passer la dedans, pire qu'une ligne de footballeur américain. Il regarda son ami, qui rigolait encore et soupira. L'as avait retrouvé sa flemme et sa nonchalance habituel.

-T'inquiète pas normalement on ne connait personne ici. Je dis bien "normalement"...
-Pour toi, mais les amies de Satsuki, elles vont pas me rater...

Aomine pouvait en effet se faire du soucis, sachant que Momoi était moins "fille" que les autres. Ces amies devaient être dans la foule de sauvage avec le reste. Il tenta de se rapprocher pour repérer l'intérieur derrière les vitres... mauvaise idée. Un groupe de fille se pressa derrière lui et il se retrouva rapidement au milieu de la mêlée. Pas discret en plus, il devait toute les dépassés d'au moins deux têtes. Il tenta de se dégagé, mais une vendeuse arriva derrière la vitre provoquant encore plus de mouvement dans la file d'hystérique. La vendeuse n'avait pas l'air non plus rassuré devant le mouvement de foule et fixa bizarrement l'as de la génération miracle. Normal, un mec devant un magasin de se genre, c'est pas commun.

-Nous allons ouvrir le magasin, pas de raison de s'affoler, mesdames... et messieurs...

Si Aomine aurait eu la peau blanche, il serait rouge comme une tomate... heureusement que ce n'était pas le cas. Très vite, les portes s'ouvrirent (ou cédèrent ?) pour laisser place à une vague de femme qui entrainèrent de force le pauvre basketteur. Aomine avait une très forte envie de se casser d'ici et d'insulté Aoki qui était resté derrière la foule et qui était tranquille coup. Le groupe de femme se dispersa un peu partout, certaine se battaient pour avoir tel ou tel modèle ! Qu'est-ce que ça donnerait sur un terrain de basket ? Non, sur un terrain de Foot américain plutôt ! L'as de la génération miracle en eut des frissons et se dépêcha de chercher ce que voulait Satsuki pour se barré le plus vite d'ici. Et passer à un autre magasin...

-Bon, je crois qu'on va se dépêcher... j'ai pas envie de rester ici plus longtemps...

Aomine aurait voulu partir sans rien acheté, mais il s'imaginait déjà les semaines de torture qu'il allait subir par la jeune fille au cheveux rose. Elle le connaissait depuis bien trop longtemps et savait parfaitement comment lui faire péter un plomb. Il s’approcha des soutiens gorge et prit un ensemble souttif'/string de la même couleur que les cheveux de Kuroko, bien évidemment. Satsuki avait toujours aimé le rose, mais depuis un certain jour incluant un bâtonnet de glace gagnant la jeune fille s'était prit de passion pour le bleu clair. Devinez pourquoi...

-Je crois que c'est le bonnet F...

Mais soudainement quelque chose frappa avec vigueur l'as de la génération miracle. Intrigué, il tourna la tête vers la source de violence pour voir, une vieille... une femme d'un âge avancé qui brandissait son sac à main le regard haineux.

-Bande de petit pervers ! Je connais les jeunes de votre âge ! Je sais que vous allez faire des choses pas net avec ceci !
-Mais...!

L'as rougit à ces propos, lui faire des trucs pas net avec Aoki ? Elle se méprenait totalement la p'tite dame !
Elle continua de tabasser le pauvre basketteur avec son sac qui bien-sur, ne lui faisait pas mal. Mais faire les courses de quelqu'une d'autre avec en plus quelqu'un qui vous frappe, c'est pas de tout repos. Aomine l'aurait bien frapper elle aussi, mais il ne pouvait pas, c'était une femme et en plus une vieille. Alors que faire ?
Il lança un regard à Aoki dans l'espoir que celui trouve les mots pour calmer la vieille femme et surtout avant qu'il use de la violence lui aussi.

Alors que l'as de la génération miracle se faisait tabasser par un charpé en furie, il regardait Aoki en espérant que celui-ci mette un terme au quiproquo. Et surtout l’empêcher de se retourner contre celle qui le frappé, elle était bien trop âgé et il fallait respecter ses ainés.

-Pardonnez-nous madame, mais voyez vous nous ne sommes pas ici pour se genre de délire...

Aomine se sentit sauvé quand son Ami lança un regard déterminé à la vieille dame et approcha, qu'allait-il faire ? Les séparer ? S’énerver et crier sur la vieille dame ? Mais ce fut tout autre, Aoki se plaça en face de lui et le regarda, étrangement. Son ami leva les bras et prit ses joues. Aomine était complètement perdu, Aoki ne l'aidait pas ? Pourquoi leurs visages se rapprochaient ?! Il voulait lui chuchoter quelques choses ? Mais il déchanta très vite quand Aoki posa ses lèvres sur les siennes. Surprit par la tournure des évènements, il voulu protester en ouvrant la bouche, mais son "ami" l'embrassa encore plus passionnément, il lâcha se qu'il avait dans les mains. Le basketteur se sentit comme dans un four l'espace d'un instant et Aoki rompu le baisé.
Le jeune homme se tourna vers la femme âgée avec un grand sourire.

-Avez-vous bien vu? Nous sommes juste là pour faire des achats pour une amie.

Aomine ne vu pas la vieille femme partir, il continuait de fixer Aoki sans bouger sa bouche s'ouvrait et se fermé, il ne savait pas quoi dire. Embrasser un mec ! Ils étaient deux hommes bon Dieu ! Pourquoi ?! Mais ce qui le troublait le plus, ce n'était pas ça, ni même la chaleur qu'il avait ressentit, l'espace d'un instant... il en était sur, il avait répondu au baiser ! Non, ce n'était pas possible ! Ils ne se connaissaient que d'aujourd'hui ! Enfin, lui même plutôt. Il n'avait pas voulu répondre, il n'avait pas voulu avoir envie de le plaquer contre un mur à ce moment là, non !
Dans la confusion il recula d'un pas, mais bien vite, un groupe de fille le ramena à la réalité.

-Oooh, alors le meilleur ami de Momoi-chan est gay ! Je ne m'y attendais pas à celle là !
-Oh mon Dieu j'ai toujours voulu avoir un copain gay !
-Yuki taggle. Et donc, je fais les soldes et voilà sur quoi je tombe ? Tout le lycée va adooorer cet histoire !
-Je... je ne suis pas une tapette de gay !
-Ah, vraiment ? Alors c'est qui lui ? Ton "ami" ?
-Oui, tout juste ! C'est mon... pote.
-Alors... ca ne le dérange pas si je fais, ça n'est-ce pas ?

La fille s’approcha d'eux, c'était un pot de peinture vivant avec sa tonne de maquillage, elle marchait en dandinent bien ses cuisses du haut de ses talons aiguilles, l'avantage c'est qu'elle devait avoir largement la même taille que les seins de Momoi. Bref, la fille lança un regard provocateur envers Aoki et se colla à Aomine se frottant bien contre son torse. L'as ne réagit pas, encore un peu sous le choque. Il n'aimait tout de même pas cette fille et s'il était en état, elle se serait fait encastré dans les rayons en moins de deux ! Bizarrement, il n'avait pas ressenti cette colère pour Aoki...

Le pot de peinture narguait Aoki, en restant collé à l'as de la génération miracle. Pourtant, Aomine ne réagissait pas plus que ça, il était bien trop secoué par tout un tas d'émotions pour daigner de donner ne serait-ce qu'un peu importance à cette fille. Il était en colère à cause des propos de cette fille, certes, mais pour autre chose aussi, ce n'était pas de se coller à lui, pas que ça. Mais elle le faisait dans le but de faire craquer son "Ami" et même après ce qu'il venait ce se passer, Aomine n'aimait pas que l'on fasse ça. Il détestait que l'on s'en prenne au gens qu'il apprécie. Pourtant, le pot de peinture compris bien vite que le jeune basketteur ne rentrait pas dans son ptit' jeu, au contraire il avait un sourire confiant.

-Alors petit pot de peinture que pensais-tu que j'allais faire ? Ou bien que pensais-tu qu'il allait faire?

Il le désigna. Aoki avait donc confiance en lui, mais comment le pouvait-il ? Il connaissait l'as depuis un moment, mais ils ne s'étaient jamais vraiment parlé jusqu'à aujourd'hui ! Aomine détourna les yeux de son "Ami", il ne pouvait pas le regarder sans repenser au baiser d'il y a quelques minutes. L'as concentra donc son attention sur la fille qui bien vite, s’énerva de ne pas faire autant "d'effet" que ça sur les deux jeunes hommes, elle se pensait si belle que ça ? La pouffe s’écarta de lui, perdit son sang froid et aboya des insultes sans réfléchir.

-Pffff ! Tfaçon vous êtes qu'une bande de tafiole qui n'en vaux même pas la peine !
-Bah écoute, si on en valait pas la peine, tu te serais pas donné autant de mal ma vieille !

Elle les insulta derechef et parti avec ses petits toutou direction, un autre magasin. Aomine esquissa un sourire, il n'avait pas envie de rire, il était bien trop torturé intérieurement. L'as observa Aoki se penché pour ramasser quelque chose, avec tout ces évènements il en avait oublié les soldes ! Son "Ami", si on pouvait encore appeler ça un ami, lui tendit l'ensemble bleu avec un sourire d'excuse.

-Je suis désolé. Ce qui vient de ce passé est de ma faute.

Aomine le plongea brièvement son regard dans les yeux d'Aoki et détourna la tête aussi tôt, il sentait ses joues brûler. De le honte ? De la timidité ? Il ne le savait pas lui même, mais à chaque fois qu'il regardait le jeune homme, cette scène repassait dans sa tête, il ne savait plus quoi pensée ! Il devait s'éclaircir les idées.

-C'est... de toute façons je ne veux plus faire les soldes... t'en pit pour Satsuki, je... je vais renter chez moi...

Sur ce, il tourna le dos à Aoki et n'attendit même pas une réponse de sa part. Aomine sortit du magasin, seul. Il ne voulait plus voir l'autre pour le moment, le temps de se calmer un peu. Pourtant, l'as de la génération miracle ne se rendit pas immédiatement chez lui. Il fit escale dans les toilettes du centre commercial. Elles étaient vide, t'en mieux. Il alluma un robinet à fond et passa sa tête dessous. L'eau fraîche lui faisait énormément de bien.

Il repensa encore à la scène sans remarquer le petit sourire en coin qui commençait à apparaître. Il aurait voulu lui dire de ne pas s'en faire, que ce n'était pas grave, mais comment ça ne pourrait pas l'être ?! Il s'était fait embrassé par un inconnu, car oui il ne savait rien de lui et pourtant il n'arrivait pas à le détester.

Aomine s’agrippa fermement au rebord du lavabo, il essayait de faire sortir le surplus d'émotion qu'il l'avait gagné en si peu de temps. Dans la foulée, il ne remarqua pas que quelqu'un était entrée dans les toilettes...

Aomine était comme... hypnotisé, chaque goutte qui tombait le fasciné, il n'était pas fou. C'était juste le désespoir d'oublier tout ça, de redevenir le basketteur flemmard sans véritable amis hormis Satsuki. Et pourtant, le voilà, ici, se cachant dans les toilettes à cause d'un garçon qu'il ne connaissait que depuis aujourd'hui. Comment était sa situation ? Pitoyable, à en mourir de rire. Il n'aimait pas ce garçon, c'était juste un ami, enfin le mot "ami" est peut-être un peu trop fort désormais. On ne peut pas aimer en un jour et encore moins quand on a leurs âge. Alors qu'est-ce qu'il avait ressenti à ce moment là ? Quand leurs lèvres entrèrent en contacte ? Cette soudaine envie de violence et cette chaleur si étrange. Du désir ? Il était vraiment entrain de vouloir baiser ce mec ?!

Mais, bien vite, quelque chose le fit sortir de sa torture mentale. Quelqu'un. Quelqu'un venait de poser sa main sur son épaule. Le basketteur sursauta et regarda la personne. Génial... c'était Aoki !

-Aomine... Je voulais que tu saches que... Je suis désolé. Je ne pensais pas que... Enfin tu vois...

Le jeune homme était visiblement très mal à l'aise, il n'osait pas regarder Aomine dans les yeux, tout comme celui-ci l'avait fait quelques instant plus tôt. Et bien que le basketteur était furieusement énervé contre lui, il arrivait quand même à le prendre en pitié. Bordel ! Ce mec venait de l'embrasser de force ! Alors pourquoi il le considérait encore comme un ami ? Pourquoi ? Pourquoi ! Mais le pire dans tout ça, c'est qu'Aomine détestait voir ses amis souffrir, parce que lui même détestait souffrir, Il n'avait pourtant rien de bien particulier, des notes moyennes, pas de copine, juste une passion qu'il ne pouvait exercée pleinement. Une torture psychologique.
Cette fois-ci, Aomine ne détourna pas le regard d'Aoki.

-Je ne veux pas que notre amitié se brise... Alors si à cause de cet incident, tu ne veux plus me revoir, je ne t'en voudrais pas.

Il aurait t'en voulu rire quand son ami lui fit un sourire, un faux bien sûr. Comment pouvait-il espérer le tromper dans un moment pareil ? Ce n'était pas le moment de paraître joyeux alors qu'on ne l'ai pas. Plus il le voyait, plus ça l'énervé, il ne pourrait pas se retenir longtemps. Mais là, s'en était trop. Aoki était prêt à partir, une main sur la poignée. Aomine grogna et se releva d'un coup il agrippa par l'épaule et lui fit faire volte face.

-IDIOT ! JE TE HAIS COMMENT PEUX-TU...!

Il ne termina pas sa phrase et l'embrassa sauvagement.

Alors qu'Aomine embrassait sauvagement son "ami", celui-ci répondit avec plus de vigueur que lui ce qui eu pour conséquence de l'exciter encore plus. Il n'avait même pas terminé sa phrase, lui avait coupé la parole, mais en ce moment même, plus rien ne comptait pour lui à part l'envie d'assouvir ses désirs. Son ami avait visiblement la même envie et s'agrippa autours de son cou, Aomine ne le lâcha pas jusqu'à ce qu'il n'ai plus d'air, il voulait continuer. Une horrible sensation de chaleur lui traversait tout le corps en particulier vers le bas. Il voulu encore l'embrasser, mais...

-Ah... Aomine... Pourquoi?

Aoki se détacha de lui et le regarda yeux dans les yeux. Pourquoi cette question ? Pourquoi maintenant ? Le basketteur ne voulait pas arrêter, il était trop prit dans sa frénésie pour réfléchir de quelque manière que ce soit et il le savait. Il s'emportait très vite dans ce genre de situation, et ce même si le doute le rongeait. Bien sur que ce n'était pas bien de le faire, surtout dans cet endroit, plein de monde... il osait à peine imaginer ce qu'il se passerait si quelqu'un ouvrait la porte. Il ne savait pas non plus pourquoi il avait fait ça, il avait sûrement cédé à ses pulsions. Son ami s'appuya sur lui, contacte entre les deux attisa le désir de l'as et encore plus quand il le vu haleté devant lui, comme une proie qui ne demandait qu'à être dévoré.

-Aomine... Je me sens bizarre... Aide moi...

La phrase de trop, le pauvre basketteur qui avait déjà du mal à contrôler ses pulsions prit ça comme un appel au viol et plaqua violemment son ami contre le mur et pour seul réponse, un baiser encore plus violent que les précédents. D'une main il agrippa le bas du dos de sa proie pour la rapprocher de lui, bassin contre bassin et de l'autre il ferma à clé la porte des toilettes en tournant simplement le verrou. Il l'embrassa encore jusqu'à ne plus pouvoir. Il ne se contrôlait plus, c'était à la foie effrayant et terriblement plaisant pour lui.

Avec toute sa force, il plaqua le pauvre Aoki au sol ne lui laissant pas le moindre répit et le surmonta de ses instincts prédateur, il commença ainsi à défaire la boucle de sa ceinture sans même prendre la peine d'enlever le haut tout en affichant un sourire malsain.

-Comment peux-tu me donner autant envie de toi alors que je ne te connais même pas...

Il rapprocha son visage du sien sans toute fois l'embrasser, le dévorant de ses prunelles bleu. Son ami espérait un grande histoire d'amour ? Ce n'ai alors sans doute pas la bonne personne qu'il a choisit. Il lui susurra quelques mots.

-Mais ça tombe bien, personne ne peut entrée ici...

La situation était très étrange pour des toilettes publique. Au sol, deux amis commençaient une activité plus que plaisante. Alors que l'as de la génération miracle pensait sa proie totalement soumise, celle-ci afficha un large sourire espiègle. Qu'avait-il dans la tête ? Aomine l'observa, il retira son haut dévoilant un torse plutôt pas mal pour un lycéen, le basketteur n'avait qu'une envie : le baiser jusqu'à ce que mort s'en suive.

Son amant de quelque instant posa sa main sur son torse de sorte à le repoussé. Au début il n'aima pas ça et tenta de résister, puis voyant le sourire qu'affichait Aoki il lui fit confiance et se laissa faire. Le prédateur se retrouva donc en position de dominé, son ami étant sur lui. Il n'aimait pas cette position ! Il avait l'impression de se faire étouffer. Le basketteur voulu se remettre au dessus, mais son ami le calma.

-Ne bouge pas, je suis sur que sa va te plaire...

A ces mots, Aomine avait une vague idée de ce qui allait se passer, ils s'embrassèrent à nouveau avec avidité, mais tout devint clair quand Aoki commença à descendre de plus en plus jusqu'au niveau de son boxer complètement déformé par l’érection. Le basketteur ne lui aurait jamais fait ce qu'il allait lui faire, mais c'est un cadeau qui ne se refuse pas ~

Il n’arrivait pas à distingué l'expression de son ami, mais sans doute elle était perverse. Particulièrement quand il commença à retiré le boxer du basketteur. Aomine se mordit la lèvre inférieur, ça allait commencer. Son partenaire saisi sa virilité, un frisson le parcouru, il ne commença à prendre du plaisir que lorsqu'il commença les vas-et-viens, malheureusement bien trop lent pour lui ! Il s'arrêta un court moment puis passa à un tout autre niveau : il engloutit son membre et recommença des vas-et-viens. Ce fut un sensation encore plus intence pour l'as de la génération miracle. Sa bouche s'adapter parfaitement et sa langue le parcourait divinement bien.

Aomine fut alors confronté à un nouveau problème. Il tentait de toute ses forces de se retenir de crier son plaisir, même ici on entendait les gens parler à coter et se serait sûrement pareil dans le cas inverse. Il se crispa donc tout en essayent de ne pas trop gémir ce qui était évidemment impossible. Il ne pouvait pas non plus s'agripper à quoi que ce soit car en dessous, le carrelage était trop lisse, il opta donc pou se mordre la main afin d'effacer le plus possible les bruits.

Le plaisir ne faisait que de monter en intensité, si bien que le basketteur se sentait déjà venir ! Le liquides pré-éjaculatoire était donc sûrement sortit depuis un moment. Mais comment le lui dire ? Il ne pourrait pas lâcher sa main sans certainement pousser un soupire qui attirerait l'attention, mais un bruit vint vite gâcher l'ambiance... une sonnerie de portable. Le pauvre appareil était tombé pendant qu'il avait avait plaqué Aoki au sol. Et maintenant il avait décidé de jouer la toupie avec le vibreur, en plus de la musique. Aomine l'attrapa du bout de sa main libre, bien évidemment... c'était Satsuki, il raccrocha une première fois, la seconde il éteint carrément son portable et le laissa négligemment au sol. Ce n'était pas vraiment le moment pour tenir une discussion et sans doute qu'elle le bouderait sûrement après ça.

Ce petit épisode l'ayant calmé, il décida d'emmerder les passant d'à côté et d'ouvrir un peu sa gueule qui à prendre des risques.

-Haa... c'est p-... pas... juste... je pr-... haa... propose que... nous prenions... du plaisiiir !... Ensemble...

Il repoussa Aoki et re-bascula en position avantageuse, il se débarrassa lui aussi du haut pour se mettre torse nu, il crevait trop de chaud pour le garder. Et lança un sourire un provocateur à son partenaire, il aimait beaucoup plus être haut dessus. Il commença également à retirer le pantalon d'Aoki...

Le désir sexuel était à son comble. L'as de la génération miracle n’avait qu'une chose en tête, en finir. Sa position de force le rendait encore plus motivé que jamais. Il retira le pantalon ainsi que le reste de sa proie, celle-ci en était satisfaite, on était trop à l'étroit là-dedans. Mais alors que le basketteur allait continuer, son ami prit la main qu’il s'était mordu quelques instant plus tôt pour empêcher ses gémissements et tout en le fixant, il déposa un baiser dessus. Cette action lui donna une horrible envie de se jetée sur lui, si ce n'était pas déjà fait, il avait prit ça comme une provocation, cependant le basketteur n'eut pas le temps de lui répondre qu'il se faisait déjà embrasser. Aomine aurait voulu continuer le baiser, le rendre plus sauvage, mais à cause de l’excitation son souffle était devenu plus court, il dû s'arrêter bien plus vite qu’au début, son partenaire lui chuchota quelque chose à l'oreille.

-Mon corps est à toi. Fais-en ce qu'il te plait.
-Tu vas de le regretter ~ ça risque de te faire mal...

Et le basketteur pensée ses mots. Pour lui cette phrase voulait dire qu'il pouvait enfin se lâcher et arrêter de pensée à ce qui l'entourait, tel que les passant ou encore le fait de ne pas trop faire de bruit. Une nouvelle vague de chaleur s'empara de lui et il n'attendit pas plus longtemps. Il l'embrassa violemment jusqu'à ne plus en pouvoir, puis continua en lui léchant le cou, tout en caressant le corps musclé de sa proie et commença à le mettre en position pour concluer l'acte, mais alors qu'il allait enfin le pénétrer, des coups violent s’abattirent sur la porte des toilettes, il tourna la tête vers celle-ci, une seconde vague de coups retentirent.

-BORDEL DEPUIS TOUT A L'HEURE JE VOUS DIT D'OUVRIR CETTE PORTE ! Je sais que vous êtes là ! Vous vendez de la drogue c'est ça ?! Si vous n'ouvrez pas très vite, je vais appeler la sécurité !

L'as de la génération miracle rougit. Il aurait bien voulu continuer, mais ce n'était plus possible et s'ils ne se dépêchaient pas d'ouvrir, cet homme allait appeler la sécurité afin d'ouvrir la porte grâce aux clés du personnel. Il se retira de son ami et commença à retrouver un peu de lucidité, quelques secondes plus tôt, il était sur le point de conclure avec un garçons de son âge qu'il ne connait que depuis quelques heures. Une troisième vague de coup s’abattit sur la porte ce qui fit très rapidement sortir de ses pensées l'As, il s'empressa de ramasser ses vêtements et son portable.

-O-oui ! On va ouvrir ne bougez pas !

Il releva son ami toujours au sol, lui lança ses vêtements et le poussa dans une cabine pour qu'il puisse s'habiller de son côté. Ça devait certainement la seul foie où Aomine s'était habillé aussi rapidement. Le basketteur essaya t'en bien que mal de cacher, la fameuse bosse qui commençait à peine à disparaitre de son pantalon. Il ouvrit la prote à l'homme impatient qui écarta vigoureusement le jeune basketteur, il avait l'air en rogne et plutôt pressé.

-HE BIEN ! C'est pas trop tôt ! La prochaine fois je vous préviens j’appelle directe le sécu-!
-NON n'ouvrez pas ! Mon ami est là-

Trop tard, l'homme ouvrit et referma presque automatiquement la porte, Aomine priait pour qu'il ne l'avait pas vu nu, l'homme ne dit rien il était visiblement gêné et s’empressa de trouver une chiotte non-occupé. L'as de la génération miracle se cacha le visage d'une main, il avait honte, vraiment honte en plus de ça, il était en sueur. Une bonne douche glacée ne lui ferait pas de mal ~
Il sortit des toilettes et s'adossa contre un mur afin d'envoyé un message à Aoki, il avait prit soin de prendre son numéro avant de se rendre au centre commercial. Le message disait.

-Je sui désolé mé je croi ke je vé vraiman rentré ché moi ojourdui mé on poura se voir plu tar si tu na pa peur de moi bien sur