Helsinger Aziel

«L'enfer est pavé de bonnes intentions»

► Nom : Helsinger ► Prénom : Aziel ► Surnom : Aucun ► Groupe Sanguin : A+ ► Orientation Sexuel : Hétérosexuel ► Statut de Relation : Célibataire volage ► Age : 25 ans ► Date de Naissance : 9 novembre 1988 ► Nationalité : Japonaise ► Classe Social : Elevée ► Genre : Homme ► Emploi : Entraîneur de basket pour femmes ► Résidence : Vaste et riche studio au coeur de Tokyo ► Votre Lycée : Rakuzan ► Faites vous partie de l'équipe de Basket de votre équipe? : Non ► Capacités : Endurance et précision ► Poste au basket : Entraîneur ► Taille : 1m95 ► Poids : 75 kg ► Peau : Porcelaine ► Yeux : Marrons ► Cheveux : Noirs ► Accessoire : Chaîne avec un pendentif militaire autour du cou ► Particularité : Menteur hors pair, cicatrice qui barre son oeil gauche ► Corpulence : Moyenne ► Tatouage ou percing? : Un dragon tribal tatoué sur son pectoral

J'ai l'air banal mais en fait je suis...

Je suis tout simplement aussi simple que complexe. Si nul ne sait réellement qui je suis par mes éternels mensonges, je ne suis rien de moins qu’un grand séducteur pour le moins fort talentueux. Après tout, quel est sinon l’intérêt d’entraîner une équipe de basket féminine si je ne peux pas avoir des contreparties plutôt… intéressantes ? Car plus que séducteur, je ne m’attache à personne sentimentalement parlant. Les émotions sont des éléments que j’ai mis de côté depuis fort longtemps, bien plus pour me protéger, je l’avoue qu’autre chose. A quoi cela sert-il, après tout, de se laisser aller aux sentiments si c’est pour souffrir ? Alors ma vie est simple, banale, faite des plaisirs de la chair quotidiens dont je me délecte.

Intellectuellement parlant, la ruse me caractérise avant toute chose. Un regard charmeur, un sourire tombeur et des paroles manipulaient avec soin, et le tour et dans le sac. Alors oui, effectivement je suis doté, entre autre pour cela, d’une intelligence fine et extrêmement développée, de même que d’un égo certainement surdimensionné, mais je n’en ai cure. Sûr de moi, rien ne me fait douter de ma personne et de mes capacités autant sur un terrain de basket où je jouais autrefois en professionnel, que concernant mon charme légendaire.

Orgueilleux et sans doute bien trop assuré, j’attends avec impatience le jour où je rencontrerai celle que j’attends : une femme pleine de caractère qui saura enfin me résister, là où nulle n’a encore jamais su le faire.

Pour le reste, c'est à vous de me découvrir...

J'ai beaucoup malgré mon age...laisse moi te le montrer...

« Un jour, tu seras un champion. En attendant, tu n'es rien ! »

Un entraîneur intransigeant, voilà ce que j’aurais pu devenir si j’avais suivi la trace de mon salaud de père. Cependant, il n’en est rien. Mais pour mieux comprendre ce dont je parle, autant aborder le sujet qui fâche : ma famille. Comment la résumer… une mère dépressive et mélancolique, un jeune frère suicidé et un père passionné de basket aussi intransigeant qui nous battait sans cesse tous trois, et dont j’ai hérité de cette magnifique cicatrice à l’œil un jour de colère comme un autre. Jusqu’à ce que mon cadet, que je n’ai pas su visiblement protégé, décide de mettre fin à ses jours. J’avais alors quinze ans à l’époque, et ne croyais pas que ce drame aurait pu changer quoi que ce soit dans notre vie. Ma mère s’est d’autant plus enfoncée dans sa dépression, chutant même dans la drogue au même titre que mon père buvait constamment, tandis que celui-ci pleurait la mort de son fils à sa façon : en me hurlant que nous n’étions que des incapables et des centaines de milliers d’autres insultes dont on se passera bien dans ce récit, mais que vous pourrez imaginer sans peine.

J’ai donc grandi dans un quartier minable, un immeuble pourri et un appartement moisi qui s’apparente largement à un vaste foutoir. Mon père, obsédé par le basket et entraîneur de l’équipe de ma banlieue, voulait faire de moi un véritable champion, jusqu’à ce que j’intègre une équipe prestigieuse. Seulement pour cela, nous n’avions pas le moindre argent qui partait dans la coke, l’alcool et compagnie. Au lieu de cela, je devais tant et plus faire mes preuves, oubliant presque ma vie de lycéen et toutes les joies qui allaient avec afin de compenser notre misère salariale et financière en travaillant de nuit, et en prouvant à tous que je pouvais être le meilleur. Alors j’ai excellé, il est vrai, mais ma voie n’était pas tant en tant que joueur de basket, mais en ce que je préférais largement : entraîneur. Non pas pour suivre la voie de cet homme que je haïssais, mais parce qu’il avait réussi à me dégoûter tant du basket qu’une fois émancipé je pus m’enfuir.

Puis l’odeur du terrain et le goût pour le jeu et le ballon m’ayant manqués, je suis peu à peu revenu vers le basket où je fus repérer par des équipes diverses et variées, avant de me faire remarquer par un institut bien plus alléchant et prestigieux : celui de Rakuzan. Inutile de préciser que le salaire et la proposition qu’ils m’eurent faite furent plus que tentantes : un prix exorbitant pour devenir entraîneur… de l’équipe féminine. Comment pouvais-je un seul instant refuser, alors que les femmes étaient précisément ma seconde passion ? Pour l’instant, je prépare doucement mon arrivée à l’institut, fantasmant déjà sur ce que je vais m’apprêter à voir : de splendides jeunes femmes dans la fleur de l’âge, le corps fin et musclé et les tenues vestimentaires courtes dont je pourrai me délecter.

Car oui, il m’a toujours été difficile, pour ne pas dire impossible, de résister à la tentation féminine. Plus jeune déjà, mon esprit je l’avoue vicieux se plaisait à jouer avec leurs sentiments. Quant aux miens ? Il faudrait presque croire que je n’en ai pas. Ou du moins plus, totalement inhibés depuis la mort de mon frère. Alors la souffrance oui, je la connais, et pour ainsi dire c’est comme si j’en étais immunisée. Ne sentant plus rien, ni le bonheur, ni la souffrance, j’aime jouer avec les sentiments des femmes, les mettant dans mon lit avant de m’en débarrasser sans états d’âme. En même temps qu’y a-t-il d’amusant à cela ? Elles sont tellement simples à draguer, tellement simples à amadouer et à séduire, surtout avec une physique et une assurance comme les miens. Alors qui sait, peut-être un jour en rencontrerais-je une qui saura me faire tourner pour la première fois la tête, et qui saura me résister. Après tout, rêver est toujours permis !

Aztarel

«Parce qu’il y a toujours un ange derrière un diable !»

► Prénom ou Pseudo : Aztarel ► Age : 20 ► Ou nous a tu trouver ? ► Grâce à une amie ► Comment tu trouve le forum : Sympathique ► Quelques chose d'autre a nous dire ? ► Ton Taux de présence sur le forum sur 10 : Le plus souvent possible, je dirai 8/10 voire plus ► Est-tu un double compte? [Non] ► Code : Il n'y en pas alors ne prend pas la peine de chercher[/strike] ► Personnage de ton avatar : Lucifer d'Angel Sanctuary