Faisont ça simplement, voulez vous ? Je suis CRE-VÉ, Littérallement. J'viens de finir tout les putains de devoirs que les profs ont donnés et il est 8h passer. J'ai pas pu souper, et j'ai plus le temps acause de leur foutue horraire de débile. Je monte au dortoir, le pas lourd, avec la certitude de ne pas être en mesure de dormir cette nuit à cause de tout le vacarme que ces idiots font. J'arrive devant le seuil de la porte et vit l'évènement qui viendra gâcher ma soiré.
Un troupeau de môme, devant mon lit, avec l'étrange impression qu'ils m'avaient fait un mauvais coup. Vous l'aurez deviner, j'suis une cible de choix, surtout quand jsuis éreinté. Je me précipita pour voir ce qu'ils avaient fait cete fois. Ils déguerpirent en me voyant arrivé. Sans même me poser de question je leva la couverture. Une véritable colonie de punaise à tableau. Vous savez ces ptites saloperies dont l'embout en plastique vous reste dans les mains quand vous les enlever ? Bah elles s'étaient toutes passer le mot pour immigrées sur mon matelas ! Je retourna au rez-de-chaussé sans demander mon reste et intercepta la préposée la plus proche.

- Hey. Ya des imbéciles qui ont mis des punaises dans mon lit.

Elle me regarda d'un air las

- Ouais et alors ? C'est pas mon problème, t'a qu'à les enlevers, jsuis pas une bonne.

Les enlevers... ? Ça ressemble à un essaim d'abeille en ménopose, même d'une nuée de sauterelle presbitaires enragées. J'ai pas juste ça à faire les arrachers une à une. Vous savez quoi ? J'en ai rien a foutre. Je file vers la porte principale, je vint pour prendre mes souliers, et devenez quoi ? Ils sont encore plus submergé que le Titanic. je lacha un juron avant de prendre mon manteau quand même. En me voyant faire, la préposé me cria dessu.

-  Hey, tu penses aller où comme ça ?!

Je prit même pas le temps de me retourner tellement j'en avais marre et sortis une réponse aussi claire que ça :

- Surement pas chez l'pape !

Inserez un petit de claquement de porte et quelques jurons et vous avez une belle reconstitution des évenements. C'est  comme cela que je partis, sans soulier passer 8h avec le ventre vide. Après une dizaine de minutes il commença à pleuvoir. Pas question que je retourna dans cette asile de fou. je continua èa marcher et alla plutôt m'abriter dans la magnifique petite ruelle toute à fait acceuillante qu'il y avait entre deux blocs appartement d'une rue que je ne connaissais pas. Et je me suis assis, exactement  pas trop près ni trop loin de l'escalier de secours, parce que je préferais cela à la benne à ordure.