Le Japon c'est un pays de merde, ça prend tout si on me fait pas une fouille dès que je veux acheter des cigarettes. Pis les gens sont coincés du cul, limite si j'ai la peste! Je déteste cette langue aussi, ça prend trois heures dire bonjour. Après on se demande pourquoi je parle pas… PFF Aller, une clope ! Car je pense que si j'ai un joint dans ces rues, j'vais me faire coller au sol. Au fait je dors où ce soir ? Je sais même plus. J'vais me trouver un banc, j'aurais qu'à pousser 2-3 sans-abris et ce sera bon. Tien le parc devant des apparts c'est bien, j'le scouate! Je m'écrasais sur le banc en fumant allègrement et fixant un vieillard qui marchait. Un truc bien au Japon c'est qu'il fait pas trop froid. C'est qu'il est con mon père pareil, il a pas confirmé mon entré au lycée. J'espère juste qu'il fera pas un suivit. Pour l'instant, j'suis libre, sans eux pour me tomber sur la tronche. J'ai entendue dire que dans le coin c'est fort en basket, j'arriverais peut-être à trouver un terrain si ça se trouve. Finalement, j'me couchais sur le banc, main derrière la tête avec ma face habituel soit " I don't have a single fuck", je trifouillais dans mes poches pour trouver mon vieux mp3 et attrapai un écouteur pour un classique de Rock. Pourquoi j'ai l'impression que je ne pourrais pas avoir une nuit simple, a fixer ce ciel mi- ennuagé qui faudra forcément que j'aille un casse-pied qui va arriver… Si c'est une par contre, je crois que ce soir, je ferais pas trop mon dificile. Faut bien testé les différentes origines.

Voilà comment la journée du brun avait démaré dans un terrible silence..C'était la première fois depuis un bon moment que Dylan c'était levé aussi calement que possible...L'appartement semblait presque inabité..La journée avait donc été très longue pour le brun et sa routine infernal, ne voulant pas être seul dans son appartement il avait décidé de travailler se matin la avait les cours puis d'aller faire l'épicerie après l'école...Il était tard lorsque le brun arriva au coins de la rue et il décida de passé par le parc...Dates sur son épaule il marchait tranquillement mangeant un délicieux mufin au citron qu'il émitiait parfois pour en donné un bout au jolie petit oiseau jaune...Puis un bras chargé de sac, il remarqua un jeune homme couché sur un banc...

- Hey, You...Tu ne devrais pas resté là...la nuit est froide tu sais...

Comme de fait, je savais que je me ferais déranger, que je n'aurais pas une nuit calme. Que se n'était pas comme à Boston où on laisse les clodos allé où ils veulent sans les faire chier car au fond, personne ne s'en inquiète. Mais j'aurais crus que si je fesais le mort, on me laisserait tranquille, mais non un gamin arriva, bon un gamin, on doit avoir le même âge. La nuit est froide ? Je ne pus retenir de tourné mon regard vers lui en le regardant comme exaspéré par l'inutilité de ces paroles. Tu vas m'apprendre quelque chose ce soir toi!

- Moi qui espérais une chaude nuit comme à mexico! Ça sera pour une autre fois on dirait.

Je me retournais, montrant sur le dos de ma veste en gros le signe des Celtics de Boston, fière de la ligue. Non mais franchement, moi les gens qui disent des évidences me donnent envie de gueuler que j'y aurais pas pensé. Ce qui est encore plus enrageant c'est ceux qui les chantent, font un carton et ce font payés pour ces merdes. Le môme au muffin restait derrière moi. Il a pas compris ? Il attend quoi ? Que je fasse " mais oui tu as raison! Vite, je dois me trouver un endroit au chaud où passé la nuit sinon je vais geler! Merci l'ami!" Jamais, plutôt crever. Ce banc et moi ça sera à la vie à la mort!

Dylan était rester debout comme un parfait imbécie et regardait le jeune homme d'un air inquièts...Après tout peut être qu'il était pris a l'exterrieur ! Passé la nuit dehors n'était pas vraiment génial...sans oublié la froideur de la nuit ou encore les types louches qui pouvaient passés....


- Moi qui espérais une chaude nuit comme à mexico! Ça sera pour une autre fois on dirait.

Dylan haussa les épaules tout en offrant un autre petit morceau de muffin a son oiseau...C'était du sarcasme ....du moin d'après lui s'en était. Et cela signifiait peut être qu'il était vraiment pris a l'extérieur. Le brun lui jetta un regard triste puis lui envoya un sourire étincellant de joie.

- Dit..moi? T'a pas d'endroit ou dormir ...non? je veux dire...Un endroit comme une maison...

Un endroit où dormir ? Genre l'appartement que j'ai pas trouver ? Ah non, le centre jeunesse… j'aime de loin mon banc! Pourquoi il me demandait ça le gamin? Il y avait le mot "poor guy" d'écrit sur mon front où quoi ? Une maison ? Il me prend pour un attardé en plus. Je tournais doucement la tête vers lui, le fixant. Bon, ça vaut la peine que je lui réponde ou si je le fixe sans rien dire il va partir ? Non, c'est le genre à rester durant des heures, le sourire béa aux lèvres. Tient, je vais dire la vérité, rare chez moi.

- Oui. Mais pas sur ce continent.

Des places où dormir à Boston j'en ai plus que je ne voudrais. Mais grâce à super Daddy, j'en ai plus, j'ai mon magnifique banc. Je suis fatigué, tu me forces à rester éveiller mec. Je vais y aller franco.

- Pourquoi ? Ta une maison de Barbie à vendre peut-être ? Désoler j'aime mieux le vert.

- Oui. Mais pas sur ce continent.

Dylan le regarda un instant, le visage vide. Pas sur ce continent ? Un étrangé...Un compair plus tôt breff...Depuis combien de temps pouvait-il vivre dehors comme ça ?! Dylan grimaça silencieusement...Pauvre enfant...Seul au monde perdu dehors comme un condamné sans logie...Si ça n'avait pas été qu'il avait les mains pleinne on aurait sans doute vue le brun entrée dans une scène dramatique et désolante, preuvent de son grand manque flagrant de résonance.

- Pourquoi ? Ta une maison de Barbie à vendre peut-être ? Désoler j'aime mieux le vert.

Une maison de Barbie ? Si il avait une !! Les yeux du brun pétilèrent un bon moment puis il réalisa. Rosalie était partie avec...et bon qu'allait faire un grand jeune homme avec une maison de Barbie au fait ? Dylan sembla songé un instant puis il se mordilla la langue avant de sourire tout gentiment.

- Rosalie est partie avec la Maison de Barbie et je doute qu'elle veulent la vende...Toute fois j'ai de la nouriture..de l'eau chaude , et un lit de plus.

Bon, apparemment, il n'avait pas été achevé avec la maison de Barbie. Ce mec est idiot et en plus il a une maison de Barbie à disposition. Attend, il vient de subtilement m'invité à venir chez lui là ? Il a pas compris que je n'en avais rien à foutre de dormir dehors ? Que je le connaissais pas, que j'en avais pas envie et qu'il me cassait les burnes ? Attend un instant… Il est louche ce gamin, il me fait penser aux mecs de Boston qui amenait des filles chez eux et que tout d'un coup, on les retrouvait à faire le trottoir.

- J'ai l'air d'un mec désespéré ? J'te ferais pas de pipe mec! Ta pas autre chose à faire que de proposé au premier sans-abri que tu croises un lit ? Non mais franchement gamin, écoute-toi.

Il était désespérant. On aurait pu le violer d'un coup! Je me levais donc et bien évidemment, le dépassait, quand même pas si mal. Je lui fis un regard à la fois fourbe et malicieux. Je m'avançais vers lui.

- Imagine que dans la poche de ma veste *tapote la veste* j'ai une arme et que rendis chez toi, je te menace avec elle et te cambriole ? Tu ferais quoi ? Tu connais ni mon nom, ni d'où je viens. Je suis anonyme. Fait attention à tes paroles. Un jour, tu pourrais te retrouver comme une poupée, désarticulé.

- J'ai l'air d'un mec désespéré ? J'te ferais pas de pipe mec! Ta pas autre chose à faire que de proposé au premier sans-abri que tu croises un lit ? Non mais franchement gamin, écoute-toi.

Une pipe ? Dylan parru songeur ...Une pipe? quel rapport entre un lit et une pipe...Peut être était-il artisant ? Ou c'était une expression incconu ? Dylan se mordi la lèvre et souria légèrement. Pas de crainte qu'il lui demande une Pipe. le brun ne fumant pas de toute façons sa servirais a rien et puis loin de là l'idée de s'y mettre ou encore de les collectionné.

- Imagine que dans la poche de ma veste *tapote la veste* j'ai une arme et que rendis chez toi, je te menace avec elle et te cambriole ? Tu ferais quoi ? Tu connais ni mon nom, ni d'où je viens. Je suis anonyme. Fait attention à tes paroles. Un jour, tu pourrais te retrouver comme une poupée, désarticulé.

Dylan soupira, les yeux empreint de gentilesse. En quoi devrait-il avoir peur...Un méchant aurait tout simplement accepter et l'aurait butté directement dans l'appartement et d'un côté Dylan s'en moquait royalement. C'était pas la fin du monde de proposé un logis...

- Bah t'a pas a t'en faire, je fume pas et je fait pas de collection alors je t'ai rien demandé tu sais ! Et puis Dans le pire des cas, tu me cambriolera et ça sera ça...

Un sourire innocent et doux s'afficha sur le visage du brun tendis qu'il donnait un nouveau morceau de muffin a Dates.

- Sa suffit pour toi. Aller , maison.

L'oiseau sautilla puis sauta sur la tête de Dylan.

- Et puis bon, la vie est la vie, tant que tu part pas avec mes Muffins et les photo ça me va. Tu viens ?

Il… Il fume pas… Pipe… Oh Lord, comment est-ce possible qu'un garçon soit si inoffensif mentalement ? J'en étais presque triste pour lui. Il était en train de dire que je pourrais le cambriolé qu'il en avait rien à foutre. Il a de bonne assurance le gamin on dirait! Pourquoi il sourit comme un imbécile ? Je viens de le menacer de potentiel attaque et lui il sourit. Puis il dit que ça suffit puis maison. Sur le coup je crue que c'était à moi qu'il parlait, du coup j'agrandis les yeux, me demandant pourquoi donc j'irais. Mais il parlait à la bibite à plumes. Il me le proposait de nouveau. Pourquoi je me sens obliger ? Je hais ces gens qui font ça. Je soupirais exaspéré et me fourrait les deux mains dans les poches tout en carrant les épaules. Ma veste s'entrouvrit sur ma camisole noire. Il fait froid pareil.

- Je suis pyromane à temps perdue, tu seras avertie.

Pourquoi j'y vais, je suis trop moue ou bien j'ai juste envie d'un plumards… C'est moi qui a dit que je ferais pas mon difficile pour un peu de chaleur mais j'aurais pas cru que ça viendrait d'un mec. On partie ensuite pour sa "maison", il souriait, je regrettais déjà.